Depuis quelques années de cela, la présence de sulfites est indiquée par une étiquette sur les bouteilles : «contient des sulfites». En effet, cette précision tien sa source d’une imposition européenne qui lorsque les sulfites et anhydrides sulfureux dépassent les 10 mg par litre s’assure d’indiquer leur présence.
La présence des sulfites dans le vin ?
Les sulfites ont toujours été présent dans le vin ceci n’est pas une nouveauté. En effet, ils sont dans le vin pour : développer le développement des micro-organismes, jouer un rôle antiseptique et fixer l’oxygène présent dans le vin. Grâce aux sulfites, le vin est protégé de l’oxydation. Les sulfites évitent aussi les odeurs désagréables émises par les levures et empêchent tout vieillissement prématuré. Tous les producteurs de vin, même ceux qui produisent du vin bio se serve du sulfite. Les sulfites sont d’ailleurs ajoutés dans la cuve au moment où le raisin est récolté et empêchent toutes oxydations. De plus, ils sont utilisés pour empêcher l’action des levures et ainsi stopper la fermentation. Cependant, il y a des sulfites qui sont ajoutés plus tard lors de l’embouteillage et qui gênent les consommateurs. Vous pouvez voir le site pour plus d’informations.
Pour quelle raison les sulfites peuvent-ils représenter un danger ?
En réalité, les sulfites ne créent pas de réaction allergique et ne sont pas réellement dangereux. Mais certains consommateurs les supportent moins que d’autres. Pour ceux-là, la présence de sulfite peut entrainer des complications respiratoires, surtout pour un asthmatique. Donc les risques sont toutefois réels et l’indication de l’étiquette vous aidera à choisir selon le cas un vin biologique ou non, sans ou avec sulfites. Toutefois, les normes CEE ont imposé une limite à ne pas dépasser il s’agit de, 160 mg par litre pour le vin rouge et 210 mg par litres pour le vin rosé.